Electrabel elle-même a été la première victime de ces faits et regrette donc que le responsable n'ait pas pu être identifié, malgré l'enquête du parquet. Les événements du 5 août 2014 ont eu un impact significatif sur notre entreprise, non seulement en termes de préjudice matériel, financier et de réputation, mais également en termes de conséquences psychologiques et sociales pour nos collaborateurs.

La centrale de Doel 4 a redémarré le 19 décembre 2014. 600 personnes ont travaillé en étroite collaboration à l'analyse, au démontage, aux réparations et à la reconstruction de la turbine à vapeur ; un processus inédit qui a été terminé dans les délais prévus.

Depuis ces événements, Electrabel a pris de nombreuses mesures de sécurité :

• Le nombre de caméras sur le site de la centrale nucléaire a été considérablement augmenté
• Des installations importantes ont été verrouillées
• Dans certaines zones, les collaborateurs ne peuvent plus rentrer seuls
• Les contrôles d'accès ont été renforcés
• Tous les employés ont été sensibilisés à la culture de la sécurité.